2ème conférence du XIème Cycle Culturel du Cercle Taurin Nîmois

Publié le par cercletaurin.nimois

Jeudi 8 Novembre 2018 à 19 h00
2ème conférence du XIème Cycle Culturel du Cercle Taurin Nîmois.
 
Bravoure, Noblesse
la logique d'une fuite en avant
Par André Viard
 
Rendez-vous dans le superbe cadre du Moulin Gazay.
Cocktail après la conférence.
Venez nombreux à cette soirée qui s'annonce passionnante
 
2ème conférence du XIème Cycle Culturel du Cercle Taurin Nîmois

LE CTN sera à JEREZ pour la FERIA du CHEVAL 2019

Publié le par cercletaurin.nimois

LE CTN sera à JEREZ pour la FERIA du CHEVAL  2019

Il y a longtemps qu'on y pensait, il y a longtemps que vous nous le demandiez,

Du 17 au 22 mai prochain nous vous proposons de vivre l'ambiance très particulière de la feria du cheval à Jerez. 

Un voyage en deux temps, pour limiter les coûts.

Un départ de Nîmes en Bus Grand Tourime pour l'aéroport de BARCELONE, puis un vol intérieur pour rejoindre JEREZ, 

où Top Evasion vient nous chercher pour rejoindre notre premier Hôtel, l'IBIS de Jerez afin de profiter des deux dernières corridas de la féria (en option).

Il y aura du campo, avec la visite de 3 Ganaderias (REHUELGA et GAVIRA sa voisine) et une belle journée chez CEBADA GAGO, avec tienta et lidia d'un utrero ou toro de Cebada Gago par un matador ou novillero, en exclusivité pour le CTN. (bien sûr si le vent fou ne se lève pas) Mais nous avons toujours eu de la chance alors….

 

Deux visites guidées , privées, pour découvrir JEREZ mais aussi CADIX la magnifique, 

Une excursion dans la petite ville côtière de Sanlucar de Barrameda pour déambuler dans ses quartiers et/ou se prélasser sur ses plages, en toute  liberté.

JEREZ, CADIX, SANLUCAR
JEREZ, CADIX, SANLUCAR
JEREZ, CADIX, SANLUCAR
JEREZ, CADIX, SANLUCAR
JEREZ, CADIX, SANLUCAR
JEREZ, CADIX, SANLUCAR
JEREZ, CADIX, SANLUCAR
JEREZ, CADIX, SANLUCAR
JEREZ, CADIX, SANLUCAR
JEREZ, CADIX, SANLUCAR
JEREZ, CADIX, SANLUCAR
JEREZ, CADIX, SANLUCAR
JEREZ, CADIX, SANLUCAR

JEREZ, CADIX, SANLUCAR

Puis, au retour de Sanlucar, nous changeons d'hôtel pour nous installer en centre ville à l'Hotel ITACA de Jerez ****, Hôtel moderne situé dans un ancien couvent.

Nous assisterons également à un spectacle de La Réal Escuela de Arte Ecuestre de Jerez , (nous sommes dans l'attente  de  la publication des programmations 2019 pour confirmation) à défaut,  cette prestigieuse école nous ouvrira ses portes pour une visite complète.

Pour finir, c'est  la très belle Bodega Diez Merito à quelques centaines de metres de notre hôtel qui nous ouvrira ses portes.

Un voyage festif, fort en Toro, Campo, Culture et partage.

Et bien sûr, comme toujours au CTN, l'alternance de repas pris en communs, dans une caseta du campo de féria, dans un meson ou un repas campero dans les fincas visitées, et en prime, cette année, un repas surprise, SURPRISE !!! et  toujours des soirées libres pour vivre à notre rythme cette belle feria.

Hôtel ITACA JEREZ, La REAL ESCUELA ECUESTRE, La BODEGA DIEZ MERITOHôtel ITACA JEREZ, La REAL ESCUELA ECUESTRE, La BODEGA DIEZ MERITOHôtel ITACA JEREZ, La REAL ESCUELA ECUESTRE, La BODEGA DIEZ MERITO
Hôtel ITACA JEREZ, La REAL ESCUELA ECUESTRE, La BODEGA DIEZ MERITOHôtel ITACA JEREZ, La REAL ESCUELA ECUESTRE, La BODEGA DIEZ MERITO

Hôtel ITACA JEREZ, La REAL ESCUELA ECUESTRE, La BODEGA DIEZ MERITO

 La Feria de Jerez étant très prisée,

notre option sur les chambres tient jusqu'au 15 novembre prochain. 

Envie de participer à ce voyage ? 

retournez-nous le bulletin de réservation joint, accompagné de votre règlement avant le 15/11/2018….

Merci de votre confiance, 

La commission voyage et sorties du CTN.

Bulletin de reservation voyage Jerez à retourner avant le 15/11/2018

Donnez-nous plus souvent des corridas de toros

Publié le par cercletaurin.nimois

Madrid vient de vivre une de ces corridas dont on se souviendra dans des années avec la course des Fuente y Ymbro ; Nîmes un peu avant, a vibré pour une corrida de Victorino Martin ; Bilbao a ouvert la grande porte à Diego Urdialès triomphant des toros de Alcurrucen et les Miura de la semana grande possédaient tous les gênes de la ganaderia légendaire.

 

Alors Messieurs les empresas donnez-nous encore de ces corridas où l'émotion est présente ; où les toros se défendent jusqu'au dernier souffle, où notre peau frémit aux séries de naturelles de face, aux derechazos serrés, aux faenas sans ces sempiternels « rodondos » qui ne servent à rien, à ces estocades qui esquivent les cornes.

Donnez-nous ces toros qui ne sont pas des faire-valoir pour « des danseuses en bas roses » comme le chante Cabrel.

 

Photo Michel CHAUVIERRE

 

Donnez-nous des toreros comme Octavio Chacon qui doit à la France la relance de sa carrière et qui seulement l'année dernière n'avait aucun contrat en Espagne avant de gagner sa place dans des défis que personne n'acceptait.

Engagez Diego Urdialès qui a seulement toréé quatre corridas cette temporada et qui vient de sortir par la grande porte de Las Ventas à Madrid, comme celle de Bilbao.

Mettez à l'affiche Emilio de Justo qui aurait pu couper deux oreilles au Victorino Martin à Nîmes mais aussi Pepe Moral ou Juan Leal.

 

 L'aficionado réclame ces moments d'émotion unique qui ont fait de la course de toros un spectacle que d'autres arts ne savent pas offrir. Alors on ose espérer que, pour une fois, les aficionados ont été entendus après le « livre blanc » formulé par la Coordination des clubs taurins de Nîmes et du Gard qui alertait sur l'avenir des feria de Nîmes et que la saison prochaine une autre corrida de Victorino Martin aura eu suffisamment de répercutions dans le public pour remplir l'amphithéâtre.

 

L'obtention du prix de la meilleure corrida de la temporada nîmoise pourrait bien être la meilleure réclame que l'on pourrait faire à cette corrida historique.

Ce public, alors attaché aux corridas des toreros-artistes, découvrira alors un autre spectacle où le danger, la peur, l'émotion sont présents à chaque seconde.

 

Mais puisque les Nîmois ont eu la chance pour cette feria des Vendanges de vivre de grands moments tauromachiques, souhaitons que le directeur des arènes persévère dans cette programmation de haut niveau où les mêmes élevages et les mêmes toreros ne sont pas l'épine dorsale d'une feria.

 

 Paul Bosc

10/10/2018

 

TERRES TAURINES CHOISIT LE CIRCUIT COURT

Publié le par cercletaurin.nimois

 

À compter de l'opus 75 qui sortira mi octobre, Terres Taurines sera exclusivement disponible sur abonnement.

Annoncée depuis plusieurs mois en raison des dysfonctionnements de la grande distribution de presse qui impactent tous les éditeurs, cette décision permettra à la revue de continuer à voyager longtemps en Terres Taurines pour ses fidèles lecteurs et abonnés.

Renseignements par mail abonnement@terrestaurines.com ou tel. 06 59 79 17 22
 
Au sommaire de l’opus 75 :
 
CORDOUE TAURINE, CINQ DIEUX ET DEUX CALIFATS

Ce voyage en terres taurines cordouanes, où la crise a provoqué la disparition de plusieurs ganaderias, permet de découvrir les secrets les mieux cachés d’une région où la présence du taureau déifié remonte au terrible Baal qu'adoraient les carthaginois.  Sont évoqués aussi, au passage de la «judería» qui conduit à la Mezquita, les rapports ambigus entretenus durant des siècles par les Patriarches hébreux avec le Dieu Taureau syrien, les rechutes de leur peuple qui sombra à diverses reprises dans l’idolâtrie en adorant le Taureau (péjorativement qualifié de «veau» dans la Bible), mais aussi les légendaires mines du Roi Salomon qui se trouvaient, dit-on, dans la Sierra Morena ; le legs de l’empire romain qui adorait Mithra, la trace des wisigoths qui chassaient le taureau sur les berges du Guadalquivir à l’endroit précis où le terrible Almanzor élèverait plus tard les 10 000 chevaux qui lui permirent de tenir en échec la chrétienté, puis les fêtes taurines organisées dans la Cordoue reconquise, jusqu’au second califat débuté avec l’avènement de Lagartijo puis Guerrita. 

Bien sûr, ce voyage ne serait pas complet sans une visite au campo où diverses aventures humaines méritent le respect : Ramon Sánchez, ganadero des Arranz au franc parler décapant, Antonio Garcia, dont la ganaderia de la Castilleja fait face au caravansérail de Belmez sur la «route de la soie» de la Sierra Morena, Justo Barba, un Quichotte smicard, éleveur de «veraguas», ou Antonio Muñoz, mayoral écologique et poète d’Alcurrucén. 

Et il serait évidemment incomplet sans l’évocation du plus grand des califes, Manolete, dont une facette inédite de la personnalité est évoquée ici grâce, notamment, à la très controversée «loi de mémoire historique» qui a permis d’accéder au dossier secret élaboré sur lui par le régime franquiste.